Il y a quelques jours, alors que je me dirigeais vers l’épicerie, je pensais à l’expérience de pratiquer le tai-chi, par comparaison à d’autres choses, comme marcher jusqu’au magasin.
J’ai réalisé à ce moment-là que le tai-chi avait imprégné mes cellules et que marcher jusqu’au magasin et pratiquer une série n’étaient pas deux activités distinctes.
Le Tai Chi peut devenir une manière d’être, une prise de conscience, mais cela se fait sans tambour ni trompette. Cela se produit lors de la prochaine respiration, du prochain battement de cœur. Quand on retrouve « le sentiment », on se rend compte qu’il a toujours été là.
Tung Ying Chieh, Maître de Tai Chi Chuan